une petite ballade au pays inconnu

On se mit a foncé vers la forteresse....nos mouvements étaient difficile à cause du sable....et tenir sur nos jambes était un défi...mais nous étions comme porté par la peur et l'angoisse d'une nouvelle rencontre avec ces machines...nous avions un espoir de pouvoir nous abriter dans ce que nous pensions être des ruines et établir un périmêtre de défense pour nous prémunir de toutes nouvelles attaques...nous pensions alors appeler nos véhicules pour qu'ils nous rejoignent et viennent nous tirer de ce guépier infernal dans lequel nous étions tomber....nous approchions donc de plus en plus de notre objectif tant bien que mal après moult chutes qui d'en d'autres occasions nous auraient faire rire...avant de nous arrêter brusquement...des bruits inquiètants étaient porter par le vent...des dixaines de bruits différents....tous plus inquiètant les uns que les autres... avant de reprendre  notre course folle....mais plus nous approchions plus on constatait qu'il n'y avait pas la moindre porte d'entrée....pas le moindre espoir...entre les cris...et les crise de nerfs des autres...on envint à prier les anciens dieux de faire en sorte que notre mort soit rapide....parfois on jetait un coup d'oeil furtif derrière nous pour voir si nos renforts arrivait....mais rien...rien de tous...à part les remous du sable...On arriva enfin au pied de la forteresse...alors qu'on discutait de la marche à suivre...un  évènement imprévu se produisit...un sas s'ouvrit à ntre droite...on nous invitait à rentrer....ou d'autres machines arrivaient pour nous tuer? cette questions nous traversa l'esprit....et on véçu quelque longues longues secondes....notre éxistence était suspendue à l'évolution de la situation....on tréssaillit qu'on vit un robot sortir et pointer son arme sur nous avant....un face à face silencieux et intense se produisit alors...les yeux dans les yeux...personnes n'ouvrit le feu...son regard se porta alors vers le désert...et il ouvrit le feu sur le sable....on regarda la scène totalement médusé...d'autres machines se présentèrent alors...elles nous invitèrent à rentrer dans leur antres...et nous nous éxécutâmes sans demander notre reste....Ceux des sables se lançaient en effet à l'attaque...et nous étrions plus en sûreté à l'intérieur qu'à l'extérieur...