une petite ballade au pays inconnu

Il s'agit d'homme....de stature moyenne....les cheveux bruns...l'air passablement fatigué...et qui s'adresse à moi d'une voix légèrment rauque...Ilest inpesteur de police...Encore un...et ses questions me suprennent mais je ne laisse rien paraître...Il me parle des meutres dans le métro...des disparition dans le bassin parisien...et de l'abscence de corps...de ma propriété en banlieue...des travaux qui j'y ai fait éffectuer...et d'une affaire qui semble être liée au précédente...la disparitions corps et âmes de jeunes cambrioleurs...qui se serait évanouis dans le quartier de ma propriété...Je l'écoute...d'un côté je suis quelque peu effrayer de savoir ce qui la mis sur ma voie...mais dans'un autre sens je voudrais savoir ce qui la poussé à venir me rencontrer....oui je suis vraiment intrigué... Je lui manifeste mon étonnement...de le voir ici...dans mon bureau pour me parler de ses affaires en cours...il est vrai qu'un"meutre" a eu lieu juste devant mon appartement...mais à part ça...je ne vois pas pourquoi il est là...Il voudrais visiter ma propriété...ma cave plus précisement...Il a noter que de très nombreuses disparitions se sont produite dès que celle ci fut aménagé...tiens t'il à me préciser...Je commence à m'inquièté...et à sérieusement m'énerver...je bous littéralement à l'intérieur de moi...tout d'abord il insulte mon art...et maintenant...à cause d'une simple coïncidences il voudrais inspecter l'une de mes demeures....Je voudrais bien le réduire en purée la sur le champ...et arracher ses entrailles nauséabondes et les répartir aux quatres vents...Oui par simple vengeance...Je garde cepenpandant mon calme...mais lui...semble percevoir mon agacement...Je lui fais par de mon indignation de ses souipçons...Je suis un e personne respectable en tout point....Je n'ai jamais commis aucun délit...aucunes fautes...et qu'il est hors de question que je le laisse fouiner comme ça dans ma vie privéé....Je dois déjà supporter les autres zigotos...là dehors...qui tournent tels des vautours pour ne pas avoir en plus à supporter en plus les insunations d'un flics à la petite semaine....C'est en substance le discours que je lui tiens...beuaucopu plus posémént bien entendu...Et je le pris de prendre congé...avec la ferme volonté de le jeter avec force de mon bureau...Je lui serre la main en lui souriant de mes dents...Et il sorts posémement en refermant avec attention la porte tout en m'observant du coin de l'oeil...