une petite ballade au pays inconnu

Je reste quelques minutes plantés là....devant l'entrée...la porte grande ouverte avant de me décider à en franchir le seuil d'un pas mécanique...Ce n'est pas le remu_ ménage qui agite le couloir de la tour qui m'a pousser à me décider...mais plutôt la volonté de reprendre le contrôle de ma vie...de ne plus me laisser submerger par mes émotions....ce si puissant torrent qui m'a emporter dans les abîmes de la perdition...j'ai retrouver mon chemin envers et contre moi...envers ma souffrance véritable...qui comme un feu éternel brûle en moi...Je referme ma porte lorsque j'aperçoit mes voisins apeurés à la recherche du sans abris...ils m'arrachent un sourire...je me demande ce qui les éffraie tant en lui...sa condition...ou celle qu'il avit avant de tout perdre ou de tout abandonner? vaste question....je les laisse à leur quête insensée en refermant ma porte...je me déshabille...tel un automate...puis je file sous douche...chaude...je me laisse envahir par le plaisir de cette chaleur et je laisse une dernière les larmes inondées mon visage...je me lave...j'expie ma douleur...je me frotte avec vigeur...presque jusqu'au sang...avant dans gfinir presque à bout de souffle...Je m'extraie avec difficultés...en ayant toutes les peines de monde à me sècher et à m'habiller d'uen sortie de bain...Je m'éffondre dans un fauteuil...le regard hagard...Je comtemple les frusques que je portais échouer si et là dans l'appartement...je contemple ce que j'étais dévenue sans un mot...mais avec un appétit qui petit à petit se réveille...Je me dois de conserver ses vestiges pour me rappeler... si besion est...cette extrèmité...Je me dirige vers le frigo...qui s'avère désèpérément vide...même chose pour le congélateur...pas mieux pour les placards...c'est pas vrai je vais devoir resortir de suite...pour pouvoir manger un morceau....c'est pas vrai...J'ai tout de même la satisfaction de trouver mon porte feuille...plein...près de la fenêtre...heureusement...Je me précipite dans le dressing pour me vêtir de l'un de mes costumes...puis dans la salle de bains pour en finir avec cette barbe envahissante...je me sens de nouveau moi même...D'un pas affamé je quitte l'appartement....j'hume mon parfum délicat avec délectation...