une petite ballade au pays inconnu

Les rayons du soleil perçait la couvertureépaisse de la forêt...nous nous étions rapprocher des fenêtres pour assister au spectacle de l'éveil de la vie...nous n'avions pas remarquer la forête bopuger..au sens litérral du terme...les arbres se mouvait...comme pour s'étirer après une bonne nuit de somme..des liannes venaient se poser sur nos véhicules..comme pour inspecter ces intrus qui avaient pénétrer leurs domaines avant de s'échapper...des secteurs qui apraissaient être plus ou dégager se retrouverènt en combrer..et les scies poursuivaient leurs oeuvres...on avait pas entendus...ou ne serait-ce que remarquer ce bruit étrange qui accompagnait la découpe...mais ce bruit se fit plus insistant...c'était comme une sorte de cris...voire de sanglots...bientôt certain d'entre nous regrettèrent d'être éveiller...en effet la forête semblea se ruer sur nous...on vit se diriger des espèces d'énormes troncs d'arbres qui semblaient vouloir stopper notre avancée puis le sol se mit lui assi a bouger...comme ci il voulait lui aussi nous conduire quelque part mais on réussit tout de même à poursuivre notre chemin...la forêt ne l'entendait pas de cette oreille...et ses attaques se firent de plus en plus violence...arbres troncs lianes qui s'élançaient toutes seules..et qui tentais de nous maintenir prisonniers....à un moment donner on se fît même avaler par une espèce d'arbre.....des choses semblables à des crocs attaquèrent sans succès nos véhicules..des liquiques corrosifs sans plus d'éffets furent également utiliser...on se baladais comme dans un gigantesques estomacs végétal en vérité...tout ça pour vous dire que l'ambience dans nos véhicules n'était pas à la fête...c'était plutôt le contraire...il ya eu des crises d'hystéries...des crises de paniques ...d'autres encore qui étaient telllment fasciner par le spectacle qui ne supportaient  plus les pleurs et les cris de nos partenaires...ce qui amena à des pugilats...des pîqures pour calmer tout ce petit monde...pour ma part...j'étais partager entre l'éffroi...et la surprise...je suis rester coller à la fenêtre profitant du spectacle...mon coeur battait la chamade me je tenais bon...on finit par s'extraire de cette chose...et à reprendre notre chemin au loin on apercevait une espèce de savane...