une petite ballade au pays inconnu

Ils brandissaient soient leurs armes, hurlaient des insanités...ou comme moi, restaient comme inerte devant les révélations entendues...Autant dire que l’atmosphère était devenue délétère...et cela n’allait pas s’arranger..alors que certain commençèrent à bousculer la machine..qui protestait faiblement, un bruit térrible se fit entendre...un bruit de forage...on regarda tous...le mur ouest s’éffrité...avant d’appercevoir le bout de la foreuse...les robots nous ordennèrent de fuir...le champsd force avait cédé...et s’était replié dans la structure...on devait fuir...mais notre terreur...surprise..enfin tout ça en même temps nous collait sur place..et on étais incapable de faire le moindre mouvement...des ordres de mes supérieurs commmencèrent à fuser...je les entendaient à peine...à vrai dire vu le bruit présent...il fallait bien tendre l’oreille pour les entendre...et encore...aurait- il fallu les comprendre aussi...On m’emporta de force...on me bouscula un peu...j’étais comme l’une ses poupée désarticulées que les enfants maltraite...il m’a fallu plusieurs minutes avant de retrouver mes esprits...juste à temps en vérité...pour asister à la seconde phase de l’assaut...les têtes des foreuses s’ouvrirent à des machines en sortirent...elles se lancèrent sur nous tels des fauves sur proie...avec vélocités...Nos protecteurs avaient renforcer leurs défenses...qu’ils parvinrent à franchir plusieurs d’entre nous ont été pris pour cible...par chance l’une de mes amies échappa de peu à l’attaque en pulvérissant sont aggresseur...mais à ce moment précis deux autres camrades sucombèrent sous leurs assauts...Ils ont été complèement déchiqueté...pendant que nous fuyions nous entendions encore leurs cris d’horreur...de souffrance avant de percevoir un gargouilli informe...Parfois on tournait la tête...pour regarder dérrière nous...et nous rendre compte qu’il ne restait plus rien de leur éxistence...on devait contenir nos lrmes pour ne pas s’éffondrer de tristesse...et pour continuer à avancer...Nos assaillants poursuivaient leur route...plus ou moins ralenti par ce qui faut appellé nos alliès...beaucoup de robots fatigués par une si longue éxistence...par le manque de pièces...par le manque de maintenance...Ils se battaient avec courage je dirais...ne renonçaient jamais en tout cas...Bientôt on arriva devant une porte...qui avait un mal fou à s’ouvrir...les autres arrivait de tous les côtés...notre éxistence ne tenait qu’au un fil...et chacun d’entre nous se découvrit un âme de guerrier...transcender par l’instinct de survie...ou par la rage de se retrouver ici...perdu au milieu de nul part...loin des siens ..quasiment condammer à une mort atroce...certains rejoignèrent les premiers rangs totalement aveuglé par la fureur...ou pour la consciense de protéger les leurs..en faiot je ne saurais jamais pourquoi ils ont fais ça...en tout cas ils ont tenus têtes aux unités d’assauts nous permettant de pénétrer dans une salle...la porte entrebaillée grinça et se referma...avec peine..certains d’entre nous se précipitèrent sur elle pour l’empêcher de se clore...mais les robots les en empêchèrent...Ils réclamaient à corps et à cris leurs amis dérrière la porte...ils revoyaient encore leurs derniers sourires..adressés avec la joie au coeur...avant de s’éffondrer en larmes...pour eux le monde s’était arrêter ...je cherchais encore à donner un sens à ce qu’il se passait...et je dois dire...que je n’y parvenais pas....