une petite ballade au pays inconnu

Nous sommes heureux de pouvoir, à présent, servir des organiques...nous été crée pour ça...Mais vous devez ssavoir une chose...Les réserves d’ébergie s’affaiblissent d’heures en heures...et nous ne pouvons vous garantir une sécurité...Les véhicules que vous avez appeller ont été détruit par les fouisseurs...Ils se sont jetés sur eux comme des bêtes enragées...ils ont bien résisté mais au fur et à mesure qu’ils avançaient dans les sables du déserts...les champs de forces faiblirent sous les assauts incessants de l’ennemi...ils réussirent à provoquer des défaillances du systême de protection et à l’hanniler avant d’absorber les véhicules...qui se défendaient encore à corps perdu...la lutte a été sans merci avant que le silence ne vienne faire place à la fureur de l’attaque...Votre seul espoir de survie...réside ici...entre ses murs...parmi nous...Cette évidence nous glaça le sang...J jettai un regard inquiet à mes compagnons qui finssaient d’écouter absourdis, le récit du robot...Bien entendu..nous vivions le rêve de tout archéologue qui se respecte...pouvoir explorer une civilisation disparu...et vivre quasiment parmi eux...en tout cas parmi leurs fantômes...mais la perspectives d’une mort atroce prochaine refoidissait notre ardeur...On demanda bien entendu si on pouvait encore quitter la cité...si il éxistait des véhicules de transport...L erobot gacha nos espoir de fuite en nous annonçant que les fouisseurs s’étais tous réveillé que ceux que nous avions rencontrer n’étais qu’une petite fraction de la puissance de combat dormante...et qu’ils allaient reprendre le but ultime de leur programmation....à savoir notre élimination..en rentrant ici ...nous sommes devenus des cibles...Et leurs attaques sont immentes...et vu la faiblesse des ressources en énergie...nous allions devoir nous réfugier vers le coeur de l’installation...Nous nous remmettions à peine de la nouvelle de la destruction de nouvelle...de l’annonce des attaques prochaines...que nous devions nous mettre en mouvements pour préserver nos vie...Mes jambes flagellaient...j’étais térrorisé..comment un conflit oublié depuis des siècles pouvait être la cause de notre mort?...je refusais de l’accepter...J’arrivais à peine à bouger...Le robot nous mentait-il pour justifier notre captivité? visiblement je n’étais pas la seule à le penser et des protestations commençèrent à s’éléver ...les hommes mettaient en doutes les affirmations de la machine...