une petite ballade au pays inconnu

une petite ballade au pays inconnu

body art part22 suite8

Les regards sont lourd...toput le monde me regarde comme ci je venais de commettre un acte atroce...Des bruits que dis je des murmures envahissent les couloirs et se taisent lors de mon approche...je suis convoqué dans le bureau du commissaire...sur le champ...Je m'y rends d'un pas lent plkus préoccuper par mon estomac qui réclame...que par les reproches...qui vont m'être fait...enfin bon...je me plis à la règle...et j'entre bientôt dans le bureau du commissaire...Il n'est pas seul...le divissionnaire est là également...Comme prévu ils me passe un savon...mais leurs paroles me passent au dessus de la tête...j'en ai cure de ce qu'ils peuvent dire...Ils m'accusent d'avoir enflammé le quartier...comme ci j'étais le seul responsable d'une explosion prévisible...C'est un fait...Ils m'intérrogent et me demandent des comptes...je les regarde dans les yeux en leur répondant que je n'ai fait que mon devoir...ce qui manifestement ne leur suffit pas...Ils reprennent leurs tirades...sur la sécurité des habitants...sur les dommages que les émeutiers vont causé dans la ville...sur les couts des éffectifs qui vont être engager pour rétablir le calme...sur encore le contrecoup médiatique de l'affaire que cela va engager...et la mauvaise image de police en général auprès de la population...que des choses qui me passe par dessus la tête...Ils finissent par s'intérrompre un instant...J'en profite pour reprendre la parole et les interroger sur l'évolution des enquêtes sur les morts suspectes dans le métro et les suites de l'agression de mon amie journaliste...questions qui provoque une explosion de colère de mes interlocuteurs qui sentent mon total désintérêt pour la situation que j'ai malencontreusement engendrée comme un affront et une marque d'irrespcect...Les murs du bureau tremblent...mais je tiens bon...je reste figé là...sans bronché...attendant une réponse à mes questions...tant et si bien qu'ils finissent par me chasser du bureau...Il était temps...je commence à avoir sérieusement faim moi...Je quitte le bureau d'un pas nonchalant...cherchant du regard un distributeur de confiserie ou de sandwich pour calmer mon appétit....Je finis par trouver mon bonheur...et je m'installe dans un fauteuyil en salle de repos pour déguster mon butin...Les infos du soir ouvre leurs journal sur les incidents...C'était prévisible...



12/01/2010
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 4 autres membres