une petite ballade au pays inconnu

Je comtpe bien reprendre la cour de ma sans entrave...ils ne sont rien...le matin je me lève un peu groggy...la douche se révèle inéfficace et j'erre dans mon salon quelques innombrables minutes avant de trouver mon but...je m'habille et je sors. durant la nuit le revêtement du sol a été changé et l'atmosphère est remplie de cette odeur de colle immonde...je descend les escaliers quatre à quatre...plein de joie...la suite de mon périple à mon bureau est mon joyeuse...dès que j'ai franchi le seuil de mon immeuble je suis assailli par les journalistes...je les hais...ils m'assaillent de questions et de flashs...je n'ai qu'une envie...les réduire en morceaux...menus et appétisants...je réussis à m'extraire de ce bourbier tant bien que mal...en m'extirpant de la foule à la force de mes bras...je navigue alors dans une vague informe...je manque de perdre patience...et ma volonté de les réduire à leur simple unité resurgit je me dois de me contenir...oui pour mon futur...je le dois...Ils me suivent tous comme des chiens...Je commence même à ressentir de la panique...et je réussis tant bien que mal à me précipiter vers un taxi...Il m'emmène sans un mot au boulot...Heureusement...je n'aurais même pas tolérer qu'il me parle...j'ai eu madose d contact humain aujourd'hui..et encore elle ne fait que commencer...J'arrive à destination...et...ils sont encore là...Ils me presse à nouveau...ils ne veulent pas lâcher prise...Et je ne sais comment j'arrive j'entre dans nos locaux...Mes collègues sont...je sens que des questions leur brûlent les lèvres...d'un regard hargneux je les dissaudent de les poser et je me dirige vers mon bureau...Enfin un peu de calme...je ...je ...ne supporte pas toutce vacarme...Je veux que ce bruit cesse...Pendant des très longue longue minutes plus rien ne passe ...j'entends...juste des bruits de couloirs..des bribes de discussion...Ils de moi j'en suis certain...j'enrage....mais j'apprécie la solitude froide de mes dossiers...je commence même à goûter au plaisir simple du contact du papier...et peu à peu je retrouve mon calme...mais cette accalmie n'est que de courte durée.