une petite ballade au pays inconnu

une petite ballade au pays inconnu

body art part22 suite3

Je décide de rentrer chez moiu...et je réalise que je me suis bien enfoncer dans les bas quartiers..et que surtout il me faudra marcher tout le long pour regagner mon domicile...Je suis particulièrement sale et malodorant...je pus l'urine en tre autre chose...donc il est hors de questions que je prenne le bus...J'ai également uen barbe de quelques jours et une haleine redoutable...enfin bref il vaut vraiment mieux que je marche...Je rejoins la foule...qui m'évite...m'insulte...me crache dessus parfois...mais bon je ne peux pas vraiment donner le change puisque  j'ai à peine un peu de monnaie et les clefs de mon appartement sur moi...Je pourrais leur hurler que je suis inspecteur de police...mais ils me riraient au nez et me prendraient pour un fou comme il y en a tant...Je prends sur moi...et je poursuis mon chemin avec assurance...je règlerais mes comptes plutard...je grave leurs visages dans ma mémoire en attendant une occasion de leurs faire regretter leurs railleries...La nuit tombe quand je commence à reconnaître des ensembles d'immeubles que je connais bien...je suis bientôt arriver chez moi et je m'accorde une petite pause sur un banc...je prends un peu de temps pour observer les lumières de la ville illuminer le ciel de millers de feux...bien aligner...ordonner...Je laisse mon regard s'émerveiller de la beauté de l'ingéniosité humaine...et je regrette que cette créativité soit employer par des assassins pour détruire des vies...l'homme est si particulier...fairele bien et faire le mal sont dans sa nature... malheureusement...Des personnes passant près de moi me jète de pièces de monnaies et me regardent d'un air narquois...Je ne les remarque qu'en attendant les cliquetis des métaux sur le trottoirs...SE bruit m'arrache de ma cotemplation et de ma méditation...je me lève et je reprends ma route sans prendre le temps de rammaser les pièces...ce qui me vaut encore d'autres quolibets...injureux...Je traverse à grande vitesse la distance qui me sépare de mon chez moi porter par une colère furieuse contre ses gens qui se crois tout permis parce qu'ils m'ont balancer de l'argent...je comprends mieux maintenant la fierté et la rancoeur de certain sans abri qui se heurte à de tels comportements...Je pénètre sous les regards étonné de quelques habitants dans monimmeuble...et je me précipite dans l'ascenseur...quelqu'un se précipite sur la porte pour essayer de l'empêcher de se fermer...mais en vain...et je parviens enfin à mon étage...je farfouille quelques instant dans mes poches pour trouver mes clès...et après avoir enfin trouver le precieux sésame...j'entre chez moi...enfin...



22/12/2009
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